Le coup de poignard de Ravaillac qui lui a ravi son père Henri IV, a non seulement plongé le Royaume dans la stupéfaction, mais a constitué pour le jeune et désormais nouveau souverain, une déchirure profonde, tant affective que psychologique.
Elevé dans un premier temps comme un prince destiné à régner, il traîne par la suite une mélancolie et des frustrations préjudiciables à son équilibre et à ses forces, à l’ombre de sa mère Marie de Médicis et d’un favori Concino Concini.
Conférencier: M. Frédéric BIDOUZE, Agrégé d’histoire, Maître de conférences en histoire moderne, Université de Pau et des Pays de l’Adour.